Coucou, me revoilou !
J'espère que je (ne) vous ai (pas trop) manqué !
Il y a plus d'une semaine maintenant que dans la grande prairie du domaine des trois fontaines une profusion d'agarics champêtres ont fait leur apparition, bien alignés dans leurs cercles de sorcières. (Quoi ? Ben alignés, c'est le long d'une ligne et une ligne peut être courbe, non ? Non mais...)
Ce qui est étrange, c'est que dans l'autre prairie, celle en cuvette, il n'y en a pas un seul de cette sorte de champignons, à peine quelque minuscules machins beiges dont j'ignore le nom.
Depuis quelques jours, nous ne nous garons plus le long de la grande prairie, nous retournons dans le parking de nos débuts, près de la ferme (ils cherchent un repreneur avec bail emphitéotique (un mot pour le blog de jeu de mon bipède), ça vous intéresse ?).
Tout ça, parce que depuis notre voyage à Chimay, chaque fois que je me mets à galoper et sauter après la balle ou un bâton, la blessure de mon ergot se remet à saigner. Alors, mon bipède a décidé de se la jouer pépère en suivant les chemins en dur, il ne chausse même plus ses bottines.
Je me demande s'il ne vieillit pas un peu...