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Tu parles d'une vie de chien !
15 septembre 2021

Pop ! Qui voilà ?

 
Lundi, c'était kiné, mardi c'était atelier, donc pas de promenade au domaine. Aujourd'hui, au moment du petit-déjeuner, il y avait du crachin mais ça s'est interrompu et donc, nous sommes vite partis en voiture.

C'était marrant : il ne pleuvait pas mais sous le couvert des arbres, il y avait un bruit de pluie parce que les feuilles des arbres s'égouttaient.

Quand nous sommes arrivés sur le côté de la cerisaie, qui c'est qui passait sa tête par dessus le mur ?

Le cheval au pelage clair ! Mais à cause de ce que je vous ai dit au début, je ne sais pas quel jour exactement il est réapparu...


 

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12 septembre 2021

Vous aimez les lentilles ?

 
Cela fait deux jours que pour permettre à ma maîtresse de rejoindre la voiture (elle fait demi-tour au banc suivant la cerisaie) à peu près en même temps que nous, mon bipède a allongé le trajet habituel. Nous faisons le tour de l'étang. Du coup, nous sommes passés devant la glacière restaurée pour servir d'abri aux chauves-souris. La région flamande s'est même fendue d'un panneau explicatif !

IMG_20210912_095549

L'étang, lui, est toujours complètement couvert de lentilles d'eau, ce qui ne doit pas être très bon pour la faune aquatique : ça bouffe toute la lumière. Le personnel d'entretien du parc devrait peut-être dégager au moins une partie de la surface...

Le mois dernier, deux weekends consécutifs, nous avons croisé un groupe de bipèdes parlant en partie français et en partie... un sabir incompréhensible. Il était accompagné d'un groupe de chiens (deux adultes et deux chiots) d'une race que je ne connaissais pas.

D'après mon promeneur, il doit s'agir de chiens-loups de Tchécoslovaquie. C'est vrai qu'ils ont un petit regard par en-dessous sournois... Bon, je suis passée sans faire de commentaire, les deux bébés étaient déjà plus grands que moi, alors je suis restée prudente,  même si je course les Doberman sans problème.

Ah, j'oubliais : les chevaux sont toujours absents. ma maîtresse prétend que c'est pareil tous les ans. Si c'est vrai, c'est qu'elle a une meilleure mémoire que moi !


 

5 septembre 2021

Mouvement perpétuel

 
Ce matin, nous sommes allés faire notre petite promenade au domaine des trois fontaines. Ma maîtresse nous accompagnait.

Nous avons croisé le petit camion jaune de la commune de Vilvoorde : comme chaque dimanche matin il effectuait sa tournée de vidange des poubelles du parc, certainement en prévision de l'affluence de promeneurs par cet après-midi ensoleillé.

Je crains fort, malgré cette précaution, que demain matin nous n'assistions, comme chaque lendemain de beau jour, au désolant spectacle des détritus jonchant le sol sur l'entièreté du domaine.

Ces envahisseurs sont d'une désinvolture crasse (c'est le cas de le dire) !


 

22 août 2021

Nouvelle phase du mystère chevalin

 
Depuis ma dernière intervention à propos des chevaux, les choses ont évolué !

Il y a environ trois semaines il ne restait plus dans la prairie que la bestiole avec la robe la plus claire. Le lendemain, quand nous sommes passés, le fermier était en train de couper l'herbe avec un machine et, le lendemain encore, le dernier cheval avait disparu !

Depuis, la cerisaie est vide de tout équidé et l'herbe repousse. Je me demande quand même bien ce que sont devenues ces bestioles...

Avant ce weekend, nous avons eu la visite de cette dame qui me parle en flamand. Comme je l'aime bien, je lui manifeste ma joie en aboyant et en sautant autour d'elle, conclusion : elle a dit à mon bipède que j'étais folle. Bon, elle riait et je ne l'ai pas trop mal pris mais attention, je suis peut-être folle mais je ne suis pas sourde hein !

Mon promeneur l'a emmenée dans un parc  où je n'avais jamais mis les pattes (ou alors, je ne m'en rappelle plus, tellement ce devait être il y a longtemps). Le parc Meudon ça s'appelle, il y a quelques vieux bâtiments autour de l'entrée dans Neder-Over-Heembeek puis, ça descend lentement mais sûrement jusqu'aux abords du canal.

Le plus dur, c'est qu'arrivés là, il faut remonter. Je dis pas ça pour moi, je sais là-contre, c'est pour mon bipède qui commence à se faire vieux !

Si, si, je le vois très bien : il a une furieuse tendance à raccourcir de plus en plus mes promenades !

Bien que cette fois-là après avoir parcouru les sentiers de ce parc, nous sommes quand même allés faire aussi un petit tour aux Trois Fontaines.

Mais je le connais : pour faire le malin auprès des filles, il mord sur sa chique, le petit vieux !


 

1 août 2021

Enfin !

 
Hier, mon papa est rentré de Bretagne avec toute sa famille dont ma bipède préférée. Ils sont tous venus souper à la maison.

Du coup, ce matin, plus de visite aux chats pour mon promeneur et donc, nous avons pu nous rendre au domaine à l'heure habituelle, il était temps !

Là-bas, tout est redevenu normal, les trois chevaux étaient peinards dans le fond de la cerisaie (comme le terrain est en pente, on pourrait dire le bas-fond, mouarf !)

Sinon, rien de spécial, la météo nous promet de la pluie pour ce midi (tu parles d'un truc inattendu !), faudra trouver un créneau sec pour ma promenade de la mi-journée.

Bien, je vais me coucher sur mon lit, mon bipède attitré n'a pas l'air de vouloir s'intéresser à mon chiffon, il doit être dans un de ces jours où il préfère s'emmerder plutôt que de jouer avec moi. Dure dure la vie !


 

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25 juillet 2021

Au rapport !

 
Comme promis, j'ai délaissé un moment les taupinières pour aller me faire ma propre opinion plutôt que de faire confiance aux témoignages de témoins du style de l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours.

En arrivant, un groupe de promeneurs donnait des trucs à manger aux bestioles et j'ai pu les observer de près. Au retour de ma course dans la prairie, les promeneurs avaient disparu et les chevaux commençaient à descendre vers le fond de la cerisaie d'un pas nonchalant et en broutant par ci par là.

Voici mes conclusions :

  1. Tout le monde avait raison
  2. Le mystère s'approfondit

Dans ce groupe de trois individus de race chevaline, le seul de sexe mâle,

... c'est le poulain !

Mon bipède a refusé de prendre de nouvelles photos sous prétexte qu'après je me fous de sa g... et, encore plus débile, que si jamais il les mettait sut Fesse de Bouc il allait se faire savonner la tête.  Il n'a jamais posté la moindre photo sur ce réseau en dehors de sa photo de profil (où il est de face).

Revenons à nos chevaux !

Avec toutes ces histoires de transgenres on n'est plus sûr de rien de nos jours !

Et bien sûr, vous vous posez comme Boris Vian la question à deux francs cinquante : si ce sont deux femelles, laquelle est la mère ?

Moi je ne veux pas intervenir mais j'ai vu le poulain téter celle qui a la même robe que lui, mais c'est peut-être une nourrice, on voit de tout aujourd'hui !


 

24 juillet 2021

Photos !

 
Bon, nous y sommes retournés !

Aujourd'hui comme il n'y avait pas de soleil, ces braves chevaux avaient repris leur place favorite le long du mur d'enceinte de la cerisaie.

Pourquoi favorite ? Parce qu'à cet endroit ils peuvent se faire caresser par les promeneurs, surtout les enfants, et que certains matins quand nous sommes là vers 9h30 (ce qui ne risque pas pour l'instant grâce à ces maudits chats) il y a parfois un gusse qui traverse à pied la cuvette pour venir leur apporter des carottes.

Quoi ? Non, ce n'est pas leur propriétaire, leur propriétaire je l'ai déjà vu, c'est un bon vieux gros fermier digne membre du boerenbond qui les attèle parfois non pas à une carriole mais à une sorte de gros traîneau qu'ils promènent ensuite à travers les prairies (et en amochant les chemins).

Bref, nous avons de nouvelles photos, je vous en montre deux :

Vue arrière, la favorite de Madame Chapeau

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Vue avant, plus classique

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Voilà, j'espère que vous êtes satisfaits parce que pendant que mon bipède essaie de maîtriser la prise de vue via smartphone (il ne sait pas très bien par où le tenir si bien que si son doigt n'est pas devant l'objectif, il est sur un des boutons, de préférence celui qui éteint la machine ou quelque part sur l'écran, ce qui lance une autre application, bref, ça prend du temps), moi je poireaute ! Bon, aujourd'hui, près du mur il y avait une taupinière toute fraîche, alors j'ai pu creuser pour tuer le temps, mais après, je me suis fait engueuler parce que j'avais de la terre jusque derrière les oreilles !


23 juillet 2021

Rapport de visite

 
"Bon !", avait dit mon promeneur toujours en quête d'une nouvelle raison de râler," allons voir le cul des chevaux ! Et je ne mets pas mes bottines, tu n'auras qu'à ne pas courir dans l'herbe !"

Je signale que c'est pas moi qui ai posé la question et celle sur la photo non plus !

(Vous saviez, vous, qu'à Pâturages, un patelin borain, il y a un quartier du Cul du Qu'Vau ? Ben mon bipède oui : ma maîtresse y avait une copine quand ils étaient jeunes)

Quand nous sommes arrivés au domaine, nous sommes directement allés voir ce qu'il en était à l'entrée de l'enclos des chevaux qui était... vide ! Enfin en apparence parce qu'en regardant bien, nous avons fini par les apercevoir tout au fond de la cerisaie à la lisière du bois. Les chevaux ont beau être stupides, ils arrivent malgré tout à faire la différence entre l'ombre d'un cerisier chétif et celle des grands arbres bordant le fond de leur prairie.

Du coup, pour la photo, c'était un peu râpé, surtout connaissant les performances de la caméra intégrée au smartphone antédiluvien de mon bipède.

Nous avons tenté de nous rapprocher en contournant la cerisaie mais même de derrière le bouquet d'ifs, c'était encore un peu loin. À l'œil nous avons quand même pu constater que ces braves brabançons flamand étaient pourvu d'une queue entière. Sur la photo, c'est moins évident, je vous laisse juge (en cliquant, vous devinerez peut-être le poulain contre le flanc de sa mère dont vous distinguerez la queue avec un peu de bonne volonté) :

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Nous avons continué la promenade (sans entrer dans la prairie donc) mais à la jonction avec le chemin qui fait le tour du domaine,  nous sommes tombés sur une meute de chiens de races diverses. Pris d'une inspiration subite, mon promeneur a décidé de s'engager dans la trace qui traverse le bois et débouche dans le coin de la prairie qui jouxte le fond de la cerisaie, trace obstruée par quelques troncs d'arbre et des orties aussi grandes que mon bipède.

Une fois là, il a pris une autre photo, mais elle n'est pas beaucoup plus convaincante :

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Et du coup, il a encore pu râler un peu parce que pour ce faire, il a quand même dû pénétrer dans la prairie et, comme elle venait d'être fauchée, rentrer à la voiture avec des brins d'herbe collés à ses godasses !


22 juillet 2021

Ouf !

 
Aujourd'hui, j'ai bien cru que mon promeneur allait se défiler : en rentrant de chez les chats il s'était débarrassé de son attirail !

Mais c'était simplement pour remplacer ses molières par ses bottines de marche ! Il aurait déjà pu le faire les jours précédents mais il faut le temps que les idées migrent de ses pieds mouillés à son cerveau, il fait un peu diplodocus, si vous voyez ce que je veux dire...

Donc, nous sommes quand même allés au domaine (et comme il avait ses bottines, il a même poussé jusqu'en haut de l'autre prairie de l'autre côté du chemin, là où se trouve la chapelle désaffectée).

En passant le long de la cerisaie nous avons compris le pourquoi de l'absence prolongée du deuxième cheval : ce n'est pas un cheval, c'est une jument et, je ne l'avais pas vu hier mais aujourd'hui si : elle était flanquée d'un poulain.

Mon promeneur attitré n'avait même pas pensé à faire cette hypothèse pour expliquer l'absence d'une des bêtes !

Un diplodocus, je vous dis !


21 juillet 2021

Soulagement

 
Eh bien, ça se passe mieux que prévu : presque chaque jour, quand il rentre de sa visite à ces maudits chats (aujourd'hui, Zig lui a mordu le gras du bras), mon promeneur m'emmène au domaine, malgré que j'aie déjà effectué une sortie "hygiénique" après ma tartine au miel.

Après nous être garés dans le parking derrière l'orangerie, nous empruntons l'allée de hêtres séparant le parking de l'aire de jeux puis, nous tournons à droite pour longer le mur de la cerisaie (le deuxième brabançon, le plus clair et le plus gros des deux, qui avait disparu, a fait sa réapparition).

Arrivés au niveau du bouquet d'ifs, j'entraîne mon bipède dans la prairie en cuvette : il n'y a rien que j'aime autant que courir dans l'herbe !

Lui, il m'y suit en traînant des pieds et en marmonnant. Si, si, je l'entends quand je viens lui faire un petit saut contre la cuisse pour lui montrer ma satisfaction : "Ça me fatigue de marcher dans l'herbe, surtout que j'ai mal au genou... et avec la rosée, je vais encore avoir les pieds trempés !".

On ne peut pas dire que son enthousiasme soit délirant, mais je le connais : ce qu'il aime en réalité, c'est ronchonner et là, il est servi !

Et tandis que je galope, il y va pas à pas en ronchonnant donc.

L'autre jour, il y a même un vulcain (il y a de gros massifs d'orties à l'orée du sous-bois) qui s'est posé sur sa jambe, c'est vous dire la vitesse du mec !


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