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Tu parles d'une vie de chien !

3 janvier 2021

À vouloir trop bien faire

 
Vous connaissez la propension de mon promeneur attitré à trouver le moindre prétexte pour se soustraire à ses obligations.

J'ai dû prendre les choses en main (si j'ose dire). Vous connaissez ma force de persuasion et mon entêtement !

J'ai utilisé tous les manèges possibles pour l'amener à m'emmener plus régulièrement au domaine des trois fontaines.

Eh bien, depuis plus de quinze jours, mon bipède m'y a  conduite chaque jour, Noël et Nouvel An compris !

Il m'y emmène même quand il pleut !

Je me demande si je n'ai pas exagéré un peu le dressage...


 

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20 décembre 2020

Clopin-clopant

 
Hier, pendant notre promenade au domaine des Trois Fontaines, je me suis mal reçue en sautant pour attraper la balle lancée par mon bipède.

Du coup, j'ai dû rentrer sur trois pattes.

Comme le faisait remarquer Alainx, nous les chiens avons cet avantage sur les humains de ne voir notre mobilité que légèrement réduite par ce genre d'accident.

N'empêche que c'est embêtant, même si ça ne fait pas un mal... de chien !

C'est d'autant plus embêtant que mes deux bipèdes veulent absolument essayer de voir d'où ça vient : et que je te manipule la pa(pa)tte dans tous les sens, et que je vérifie s'il n'y a pas de plaie, si rien n'est coincé entre les doigts, si les coussinets...

J'ai dû me réfugier sous le lit pour avoir la paix.

Pour leur montrer que c'était pas si terrible, lors de ma sortie hygiénique du midi j'ai emmené mon promeneur faire tout le tour du quartier, volle petrol, même sur trois pattes. Surtout qu'ils parlaient déjà de vétérinaire (ces bêtes-là, quand ça te fout pas des trucs dans le cul pour voir si t'as pas chaud, ça te tripote la panse, ça t'ouvre la gueule, ça t'explore les esgourdes, quand ça te fait pas des piquouses !).

Du coup, ce matin, mon promeneur n'a pas chaussé ses bottines et ne m'a pas mis mon harnais de sport. J'ai tout de suite compris qu'il allait à nouveau profiter de la situation pour me mettre à la promenade congrue. Aussi après un petit pipi sur la pelouse de l'immeuble, je suis rentrée par la porte du 33 et en arrivant dans le couloir des caves, j'ai pris la direction du garage.

"Bon, d'accord !" qu'il a dit, "Mais faut avertir maman !" (La honte, s'entendre dire qu'on aurait des parents bipèdes)

Et donc après un aller-retour en ascenseur (bonjour les économies d'énergie !), nous sommes partis à deux pour le domaine. Là bien sûr, il n'a pas sorti ma balle pour éviter que je courre, mais vous me connaissez : j'ai tout de suite dégoté un bâton et je l'ai obligé à le lancer question de lui montrer que je savais encore courir.

Depuis je fais bien attention à poser mes quatre pattes au sol : demain, les vétérinaires seront au boulot !


8 décembre 2020

Tant qu'on y est...

 
Puisqu'on parlait photo, en rangeant la précédente, j'en ai retrouvé d'autres...

Vous vous souvenez de nos discussions sur le fameux pont-grotte du domaine des Trois Fontaines ? Eh bien j'ai retrouvé une photo où on nous voit au niveau inférieur de ce pont dont Madame Chapeau signalait que les Flamands appelaient "Bloedgrotten" les monuments de ce genre.

P1060048

Tant que j'y étais, j'en ai aussi retrouvé une, avant sa chute, de l'arbre renversé par le chien de Diane qui avait fait l'objet d'un billet de mon bipède sur le défi du samedi.

DSCN1232

C'est pas beau ça ?


6 décembre 2020

Nouvelles du front

 
Je vais vous montrer ma dernière photo (enfin la dernière où l'on peut m'admirer, pas la dernière que j'ai prise).

201202

Vous remarquez immédiatement que moi, tout le monde s'en fout si j'attrape le virus à la mode !


1 décembre 2020

Mi-figue, mi-raisin

 
Comme la nuit dernière il a bien plu (Je le sais parce que les plaques de plastique brun transparent qui bordent les terrasses étaient encore couvertes de gouttes, j'ai pu le constater car toutes les pièces qui donnent vers l'extérieur, sauf la chambre d'amis où je ne vais jamais en dehors du jeudi quand Maria, notre femme d'ouvrage portugaise, repasse, sont munies de portes-fenêtres ce qui me permet de voir dehors jusqu'au niveau du sol), j'ai craint que ce matin, mon bipède en profite pour échapper à ses devoirs, surtout que le vent était assez présent.

Mais malgré ça, il a quand même chaussé ses bottines et m'a passé mon harnais de sport (j'ai deux harnais, enfin il m'en reste deux, j'en ai eu d'autres, un réglable d'un seul mouvement mais qui, lorsqu'on le détache de la laisse présente une boucle de lanière flottante qui risque de s'accrocher un peu partout et celui que je mentionnais, qui enserre au plus près mon corps athlétique) c'était bon signe !

Nous sommes donc partis en voiture pour le domaine des Trois Fontaines.

Comme aujourd'hui, ma maîtresse ne nous avait pas accompagnés, au lieu d'aller nous garer derrière l'orangerie pour faire le tour de la cerisaie, nous nous sommes arrêtés près de la grande prairie où j'ai pu courir derrière ma balle.

Habituellement, lorsque nous faisons comme cela, au bout d'un temps, nous déposons la balle dans la bagnole et nous partons faire un petit tour à pattes dans le domaine, question par exemple de constater les dégâts causés par le vent.

Mais aujourd'hui, quand mon promeneur a eu déposé la balle, il m'a fait réintégrer notre véhicule et nous sommes rentrés à la maison : demi satisfaction !

Faut dire pour la défense de mon esclave qu'il y avait quand même un petit crachin résiduaire, un brin de vent et qu'il boitait un peu de la jambe droite. Dans sa région d'origine on aurait dit "qu'î xhalait" et dans ma région qu'il avait "une manke puut".

Voilà, comme ça, vous bénéficiez à la fois d'une petite leçon de langues moribondes et d'un style ampoulé à la Marcel (un copain cher à mon bipède).


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30 novembre 2020

Ça caille !

 
Les premiers signes avant-coureurs de l'hiver se présentent tôt cette année.

Pour ma promenade ce matin, il ne faisait que trois degrés !

Mon bipède a récupéré ses moufles sur le plancher de la bagnole sous le siège passager, là où se trouve aussi ma balle (et quelques trucs non répertoriés dont un reste de rouleau de PQ dans un sac plastique). En début de promenade, comme il y avait un léger souffle de vent, il a même couvert sa casquette avec la capuche de son parka.

Tous des frileux ces hommes !

Des chochottes ! Je vous l'avais déjà signalé !

J'ai même eu un moment de crainte : est-ce qu'emportés par leur frilosité naturelle, ils n'allaient pas me ressortir l'abominable chaussette rouge ou, pire, l'imper à scratches ?

Bon, pour l'instant, ils ne semblent pas y avoir pensé. Pourvu que ça dure !


11 novembre 2020

Nouvelles du Brexit

 
Mon cousin d'Aldeburgh, que grâce au Brexit je ne risque pas de revoir (mon bipède se refuse absolument à demander un passeport), m'a envoyé sa dernière photo.

Comme je ne suis pas Suisse, je la partage avec vous :

120408-0089


9 novembre 2020

Allez, photo !

 
À la demande générale de Madame Chapeau, j'ai chargé ma maîtresse de me photographier avec la baballe.

Bien sûr, elle n'avait emporté que son smartphone et du coup, les photos sont un peu (mouarf!) floues. Faut dire que mettre au point avec un smartphone sur une bestiole aussi dynamique que moi, c'est pas de la tarte (et ça se voit).

Enfin, c'est vous qui l'avez voulu...

balle1

balle2

balle3


8 novembre 2020

Du neuf !

 
Lors de notre dernier passage par le magasin de fournitures pour animaux, mon bipède m'a acheté une nouvelle baballe ! (faut dire que j'avais déchiqueté la moitié de la précédente).

À cause de l'emballage, il n'avait pas bien estimé le diamètre du trou traversant la chose aussi n'a-t-il pas pu insérer la cordelette et la bloquer par un nœud terminal (il aurait dû exécuter un nœud cul de porc mais il n'a plus d'épissoire et de toute manière, ce nœud n'aurait pas été suffisamment volumineux pour bloquer la corde au cul de la balle).

Il a donc fallu réaliser une sorte d'étrier passant à travers la balle.

Celle-ci est noire, l'autre était blanche (initialement, parce qu'à force d'usage...) mais les deux avaient la même taille : juste trop grande pour entrer dans ma gueule, si bien que je dois saisir la chose par sa cordelette. Ce qui permettra à mon lanceur de se plaindre que je détruis cette dernière.

Changera jamais le mec : il croit que tout le monde peut s'exclamer comme lui : "Moi et ma grande gueule !


6 novembre 2020

À bout de souffle

 
Déjà un gros mois que je n'ai rien publié ici. Tout était normal : sorties régulières, même par temps menaçant et même quelques fois sous la pluie, mon promeneur semblait bien disposé (c'est pourtant pas son genre).

Bien sûr il y a eu quelques jours sans (je veux dire sans grande promenade) pour les motifs habituels. Depuis le reconfinement, les séances d'atelier de ma maîtresse ont disparu, mais elle les a remplacées par des activités médicales, consultations diverses , examens variés, faut bien fournir des excuses à mon bipède (et renflouer la trésorerie du Chirec).

Depuis quatre jours, changement de cap : ma maîtresse nous accompagne au domaine.

Comme elle ne peut parcourir que quelques dizaines de mètres sans s'essouffler, elle se déplace d'un banc  à l'autre sur le chemin longeant la cerisaie (là où deux Brabançons, ces énormes bestioles paisibles avec poil aux pattes, se promènent lentement). Pendant ce temps, mon bipède m'entraîne dans la prairie en cuvette. Mais dès que nous nous éloignons un peu trop, je fais demi-tour et galope rejoindre ma maîtresse. Du coup, il me rappelle, mais vous me connaissez : je n'entends rien (enfin, je fais comme si...). Alors, pour me récupérer, il est obligé de gravir la pente qu'il venait juste de descendre.  Il n'a pas l'air trop content et il souffle comme un morse, mais c'est en accord avec son pseudo, je ne vois donc pas de quoi il se plaint !


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