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Tu parles d'une vie de chien !
21 juillet 2023

Cadenassé !

 
Théoriquement, les chiens doivent être tenus en laisse dans le Domaine des Trois Fontaines. C'est affiché très discrètement en quelques endroits du domaine sauf près de la ferme où un énorme panneau l'annonce "in lokale taal", mais pour l'instant, on ne le voit pas bien : il y a un gros chantier (qui ne semble pas avancer très vite) à cet endroit : ils veulent transformer la ferme en habitation communautaire, c'est très à la mode aujourd'hui.

Donc, en dépit de la théorie, quasiment personne n'attache son chien.

Bon, une seule fois en douze ans, un agent en pétrolette a demandé à mon promeneur de me mettre ma laisse, c'était un dimanche après-midi et il y avait pas mal de monde (raison pour laquelle il est exceptionnel que nous y allions le dimanche après-midi).

Donc, en raison de cette interdiction théorique, il y a en bordure de la grande prairie dans le sous-bois qui la sépare du ring un enclos fermé où l'on peut lâcher les chiens. Enclos que presque personne n'utilise pour la raison citée plus haut.

Aujourd'hui, au hasard de nos pérégrinations, nous sommes passés devant. Une chaîne cadenassée en interdisait l'entrée et une affiche en expliquait la raison :

IMG_20230721_092030

(Pour ceux qui ne seraient pas familiers de la langue de Vondel cela signale que l'endroit est fermé à cause de la présence de détritus et de verre)

Se pourrait-il que ce soit pour cette raison qu'ils ont construit ce grand enclos derrière le jardin japonais ? Pas d'affichage là-bas pour l'instant, mais ce sont les vacances, les travaux sont peut-être interrompus (comme à la ferme).

Bon, ben, attendons, qui vivra verra ! (Et de toute manière, c'est pas ça qui va changer l'affaire de la laisse, hein...)


 

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10 juillet 2023

Ils sont fous ces bipèdes !

 
Depuis plusieurs semaines, lorsque ma maîtresse n'a pas kiné ou atelier ou dentiste avec Louise ou... , elle nous accompagne au domaine des Trois Fontaines.

Du coup, nous ne nous arrêtons plus le long de la grande prairie (où j'ai vu en passant qu'ils ont construit un grand enclos qui occupe toute la partie derrière le jardin japonais, je me demande bien dans quel but...) et nous allons garer la voiture dans le parking à l'arrière de l'ancienne orangerie puis nous faisons un petit circuit autour de la cerisaie et de la portion boisée qui lui succède. C'est un itinéraire avec bancs, comme ça, ma maîtresse peut faire quelques pauses pendant lesquelles j'aboie pour inciter mes bipèdes à redémarrer.

Aujourd'hui, sur le petit chemin en terre qui ramène vers l'arrière de l'orangerie, ils ont fait un arrêt supplémentaire, malgré qu'il n'y avait pas de banc. Ils fixaient le sol du regard, alors, je suis revenue sur mes pas pour voir moi aussi ce qui attirait leur attention : rien, j'ai rien vu, ils sont fous ces bipèdes !

Et puis, un petit machin d'un bon centimètre a fait quelques bonds. Un minuscule crapaud ! Immobile, il se confondait parfaitement avec le sol de terre noirâtre.

Leur faut quand même pas un très gros prétexte pour interrompre leur promenade, n'importe quoi ! Mais je les ai ramenés à l'ordre par quelques aboiements bien sentis... jusqu'au banc suivant !


 

9 juillet 2023

Ça faisait un moment !

 
... que j'étais passée par ici ?

Non ! Que nous n'étions plus descendus dans le chemin creux du domaine des Trois Fontaines...

Comme c'est la canicule, mon promeneur a décidé de chercher un parcours ombragé ce matin.

Comme aussi l'IRM (Institut Royal Météorologique) a mis le pays sous alerte jaune pour cet après-midi à cause des orages et du vent violent probables, mon chauffeur a arrêté la voiture avant l'entrée du domaine à l'ombre des arbres, arbustes et arbrisseaux bordant la rue, craignant que l'accès routier ait été condamné.

Nous avons alors pénétré dans l'extrémité Est de la prairie, sommes passés devant l'énorme noyer et avons rejoint l'escalier qui descend dans le chemin creux (vous savez : celui qui passe sous le ring). Il y a tellement longtemps que nous n'étions plus passés par là qu'ils ont eu le temps de refaire l'escalier. Ils ont tellement entassé de petits cailloux de dolomie derrière les rondins de bois que les marches sont en légère pente vers l'avant, étroites (la déclivité est forte) et glissantes à causes des particules mobiles de dolomie.

Mon promeneur attitré, vous connaissez sa délicatesse habituelle, s'est exclamé "Bordel, c'était mieux quand il n'y avait que de la boue et du bois pourri !" mais il est arrivé indemne au bas de la chose. Et là, effectivement, tout s'est passé comme espéré : il faisait frais à l'ombre des grands arbres bordant le fossé.

Bon, pour rentrer nous avons dû franchir la passerelle sous le soleil mais ce ne fut l'affaire que de quelques (dizaines) de mètres.


 

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