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Tu parles d'une vie de chien !
25 février 2023

Perturbations

 
Ce matin, en débouchant du couloir des caves dans le garage pour embarquer dans ma voiture en compagnie de mon chauffeur (si, si, c'est un chauffeur : il porte une casquette !), nous sommes tombés sur un troupeau de bipèdes qui nous barrait le passage.

J'ai rapidement mis de l'ordre là-dedans en leur aboyant dessus (j'ai peut-être eu des ancêtres meneurs de moutons, va savoir !).

Quand nous sommes rentrés de ma promenade avec arrêt ravitaillement chez les Pilifs, ils étaient toujours là. Cette fois-ci, ils avaient compris et ils se sont écartés pour nous laisser passer.

À la fin de ma promenade apéritive du midi, j'ai décidé de rentrer par les garages. Les mecs n'étaient plus là, ils avaient compris !

Enfin, c'est ce que je croyais... car quand nous avons pénétré dans le couloir des caves, après le premier coude, le sol était jonché de matériel divers : des trépieds, des parapluies à la surface interne métallisée, des vêtements, des sacs...

C'est là que nous avons entendu des bavardages et des cris. J'ai voulu aller mettre de l'ordre là aussi, mais mon bipède a décidé d'emprunter l'escalier du 33 pour revenir au rez-de-chaussée et rentrer par le 31 pour y prendre l'ascenseur, question de ne pas perturber ce qui, selon lui, devait être un tournage de scène vidéo.

Un tournage, dans notre cave ! C'est vrai qu'avec ses couloirs, ses portes grises et ses lettres et chiffres noirs au pochoir, ça fait un peu bunker de la Wehrmacht les caves.

Ben dis-donc, j'en reviens pas, du cinéma underground, à notre époque... mais où va le monde ?


 

 

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13 février 2023

Toujours vivante

 
Ce matin, la radio annonce un temps très ensoleillé pour aujourd'hui. Je quitte donc le lit pleine d'espoir et me livre à quelques exercices de stretching question d'être prête pour la course. Je vais alors voir dans le living car depuis la chambre j'ai vu mon bipède y transférer le grand plateau depuis la cuisine.

Effectivement, tout est prêt et je peux manger mes tartines au miel (même si je dois les partager avec mon"maître". C'est fou ce que ça peut bouffer ces humains...).

Après, c'est le départ en voiture pour la grande prairie. Durant le trajet, j'essaie d'activer les choses en me lamentant sur le 30 km/h obligatoire, les entassements matinaux aux feux, le nombre de feux, les autobus prioritaires et toutes ces choses qui n'ont pour seul but que d'entraver mon déplacement.

À l'arrivée à la grande prairie, ouais, il y a un peu de soleil, mais l'herbe est encore bien givrée et il ne fait pas chaud chaud. Paraitrait que ça va s'améliorer dans la journée mais en attendant, ça caille ! Remarquez que je m'en fous, c'est juste pour relever la contradiction.

Hier, où il n'avait été question de soleil à la météo que pour dire qu'il n'y en aurait pas, il faisait beaucoup plus doux à la même heure et l'herbe était bien verte !

Par contre, nous avions dû aller garer la voiture derrière les écuries du domaine parce que tous les espaces de stationnement le long de la grande prairie étaient occupés par des voitures. Il y avait sûrement un truc au club de volley, mais ce ne devait pas être une rencontre de judo parce que cette fois-ci, je n'ai vu personne en pyjama.

Avantage de l'événement : mon bipède était sorti de sa routine quotidienne et, tout dérouté, il nous a fait faire une beaucoup plus grande promenade que l'habituel petit tour vite fait dans la prairie. Hélas, aujourd'hui, il est retombé dan son train-train...

Vivement que la gentille personne qui me parle doucement en flamand revienne! Elle, elle sait ce que promener veut dire !


 

 

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